lundi 30 mars 2009

Ta vulve d’ambre

Viens, blanche sur le divan rouge, viens baiser.
Tes pieds se crispent à la sanglante peluche
Ta vulve d’ambre sera la petite ruche

Où le miel de ma mentule ira s’épuiser


Tu cambres les reins ! Cochonne ! Ah ! tu tends le ventre !
Tu veux la douleur profonde et l’humidité
Brûlante du lent coït qui n’a pas juté
Mais qui remonte et s’enfonce, qui sort et rentre.








Me voici donc. Le divan sourd criera sous nous
Étreins mes reins dans l’étau fort de tes genoux


Accueille en toi mon pénis libidineux, chère,
Et ce sera quelque étreinte à devenir fou
Et ma pine en rut brûlant comme une torchère
Grossira tant que fendre les bords du trou.

Extrait de "La femme" de Pierre Louÿs


samedi 28 mars 2009

Après l'Effort...

Comme chaque dimanche matin, j'étais parti tôt à ma salle de sport, te laissant assoupie, et préférant le calme pour mon heure et demi de musculation.

Cela faisait plus d'une heure que j'avais commencé, quand le claquement sec de la porte d'entrée attira à peine mon attention, tout à l'effort de lever régulièrement les masses de fonte.

C'est à peine si je tournais la tête, et la surprise fut grande quand je découvris que c'était toi qui était entrée, et que nous étions seuls dans la salle de sport. Tu avais encore bien calculé ton coup, car je lus tout de suite dans tes yeux brillants que ma séance allait vite prendre une tournure inhabituelle !

Sans attendre, sans un mot, tu t'es accroupie entre mes jambes, ta main est venue se plaquer sur mon short, et tes doigts ont commencé leur ouvrage, flattant mon sexe à travers le tissu, l'éveillant avec assurance et un brin de perversité.
Je tentais bien d'ignorer ton manège, craignant que la porte ne s'ouvre à nouveau et qu'on ne nous suprenne ainsi, mais déjà, tu délaissais un instant mon short, et te redressant, tu saisis mon maillot à deux mains et le fis glisser avec autorité par dessus ma tête.
Puis tu t'attaquas à mon short et mon boxer, leur réservant le même sort, m'intimant l'ordre de reprendre ma position, cuisses écartées, bras relevés et muscles bandés.

Tu t'écartas un instant, satisfaite de ton oeuvre, contemplant mon corps nu en sueur, offert avec indécence en ce lieu, et te jetas bien vite sur ta proie, engloutissant d'une traite ma queue au fond de ta gorge, et malmenant sans ménagement la fine peau veinée et mes boules glabres et tendues.

Sans doute satisfaite, et m'ordonnant de rester ainsi écartelé, tu te redressas, me tournant le dos, et prenant appuis sur les lourds montants, tu n'eus pas de mal à m'enjamber et à pointer mon dard à l'entrée de ton puits, toujours prêt, t'immobilisant un instant.
Puis tu te laissas tomber presque brutalement, t'empalant d'une traite, et m'arrachant un râle qui en disait long sur mon impatience. Inutile de préciser que j'avais renoncé à actionner cette machine, tout à la ronde de ton cul qui tanguait maintenant à un rythme soutenu, se levant pour retomber dans une danse effrenée qui eut bientôt raison de nous deux, et nos cris se mêlèrent comme nos sèves, jets chauds et épais que ton ventre recueilli avec avidité...

vendredi 27 mars 2009

Douce Attente

Douce attente, jours qui s'écoulent comme les grains du sablier.
Souffle retenu sur les promesses de nos corps embrassés, de nos doigts enlacés,
Emerveillement de te regarder assoupie, allanguie, comblée, femme... Je t'aime.


jeudi 26 mars 2009

En levrette

Il me plaît que ce soir, pour te faire un enfant,
Je te saillisse par-derrière et que tu prennes
À genoux la posture ignoble des chiennes
Sous mon ventre de Mâle obscène et triomphant.

La glace qui s’étend près des draps et m’obsède,

Réfléchira l’accouplement nu de nos corps
Et je me courberai sur ta croupe en dehors,
Comme Zeus amoureux, penché sur Ganymède.











Car tu seras, malgré tes longs cheveux de blé,
L’illusoire abandon d’un éphèbe enculé
Dont le rectum s’avive aux chaleurs de la verge

Et mes doigts, en pressant les poires de tes seins,
Évoqueront un androgyne aux yeux malsains
Jouissant avec des virulences de vierge.

Extrait de "La femme" de Pierre Louÿs


jeudi 19 mars 2009

Chez le Boucher

Qui de nous deux ?... Certes, j'assume à l'occasion le rôle d'Affreux Pervers, mais tu peux sans conteste revendiquer le titre de Tendre Obsédée.

Quand tu m'as appelé en fin d'après-midi alors que j'étais sur la route, absorbé dans mes pensées, me précisant que tu entrais dans ton Intermarché habituel pour y faire quelques courses, et que mon aide serait utile pour le choix des fruits et légumes, tu n'avais aucune idée derrière la tête ?
J'imagine l'attention soudaine des clients alors que tu me détaillais au téléphone le choix d'un concombre, brillant, légèrement courbé comme tu les aimes, et d'un diamètre respectable ! Les carottes et bananes furent choisies avec le même soin...

Aussi, lorsque que tu m'annonçais faire la queue à la boucherie, je n'eus aucun mal à te faire patienter, te décrivant avec force détail l'état dans lequel tu m'avais mis ! Devant toi, une grand-mère prenait tout son temps à palabrer avec le boucher, nous laissant tout loisir de continuer notre discussion, ou plutôt, mon monologue, car ton souffle se fit vite plus rapide, bientôt suivi de gémissements éloquents, se terminant dans un cri étouffé que je connais bien !

Tu m'avouas t'être collée contre ton caddie, et avoir glissé une main sur le tissu de ta jupe, doigt habile à trouver la corde sensible et à te mener en quelques secondes à un plaisir fulgurant... Tu fus incapable de me décrire la personne qui était derrière toi, m'avouant que tu n'avais pas osé te retourner ! Je te comprends un peu...

Comble de l'ironie, lorsque tu réglas tes emplettes quelques minutes plus tard aux caisses, un jeune homme qui patientait après toi te fit remarquer que tu avais dans ton caddie un bien joli concombre, ce à quoi tu répondis avec malice et un grand sourire qu'il avait été choisi avec amour !!!
Je t'adore pour cette liberté et cette complicité...

mardi 17 mars 2009

Affreux Pervers

Une chambre romantique à souhait avec son immense lit à baldaquin tendu de voilages vaporeux qui n'inspire que tendre romance et étreinte pudique, lumière tamisée pour cacher le rose qui monte aux joues de la jeune pucelle effarouchée perdue au milieu des draps immaculés...

Stooooop !

Entrée en scène de l'Affreux Pervers...

Baldaquin...
Idéal pour y passer quelques cordes et y attacher la pôôôvre Sultane toute tremblante qui n'ose résister à une telle cruauté et se résigne à son triste sort, lorsque l'AP se jette sur son corps écartelé et la besogne comme un rustre... ;-)

lundi 16 mars 2009

Emeute lors d'un séjour échangiste

Queensland, Australie
Un touriste a provoqué une petite émeute en refusant de se déshabiller lors d'une soirée échangiste.
Touché par la crise économique, le gérant d'un hôtel a décidé d'organiser pour le mois de mars des séjours pour les couples échangistes.
Mais la police a dû évacuer un couple après qu'il a été menacé par d'autres touristes.

Tony Fox, le propriétaire de l'hôtel, a déclaré que l'émeute a éclaté lorsque quatre femmes dénudées se sont confrontées à l'homme entièrement habillé. M. Fox est intervenu et a demandé au touriste de se dévêtir en signe de respect envers les autres vacanciers.

"L'homme a alors menacé de me frapper", raconte le propriétaire qui a exigé que le touriste et sa compagne sortent de son établissement et a immédiatement fait appel à la police.
(Source : Zigonet.com)

Gageons qu'une méthode beaucoup plus simple et convaincante eût permis de venir à bout des hésitations du réfractaire sans avoir recours à la force publique ! Démonstration en une photo...

vendredi 13 mars 2009

Le piquant plaisir

Dans les voluptueux plaisirs,
Il faut des postures grotesques ;
Ma Flore au gré de mes désirs,
M’en trouve d’assez pittoresques.


L’autre jour dans notre jardin,
D’un arbre saisissant les branches,
Elle se balance soudain,
En se retroussant jusqu’aux hanches.

Je la gamahuche à l’instant,
Son con sur mon nez se balance,
Est-il un plaisir plus piquant,
Il provoque la jouissance.

Pour bander c’est un sûr moyen,
S’il est dans l’amoureuse bouche,
Un plaisir qui ne sente rien,
Ah ! ce n’est pas la gamahuche.

Anonyme (1832)

mercredi 11 mars 2009

Reconnaissance des lieux

Comment décrire, sans reprendre des mots célèbres, cette impatience, cette fébrilité qui nous gagnent lorsque nous grimpons ces dernières marches, que tu sens mon regard qui glisse déjà, polisson, explorateur, inquisiteur.

Tu joues de mon désir, tu l'exacerbes, tu lis dans mes yeux ce feu prêt à nous dévorer, tu me provoques, tu m'allumes, tu regardes avec amusement cette bosse qui gonfle impudiquement mon pantalon.

Cela ne te suffit pas ? La dernière marche accueille ton cul impatient, tu ris de ma tête ! Tu t'ouvres, obscène, le con offert, gonflé, humide.
Tu sais que quelqu'un peut monter à tout instant ou sortir d'une chambre, mais tu n'en as cure, tu veux me transformer en bouc lubrique.

44... Un grand lit à baldaquin nous attend.

Tu veux jouer ?

Chacun son tour...

A toi de gémir, de te trémousser, de ronger ton frein, de me supplier de te prendre.


Pour l'instant, obéis simplement : mets-toi à quatre pattes, que je trousse cette robe sans ménagement, que je dévoile ton cul blanc, ta fente humide.

Tu sens mon regard, comme il te fouille déjà ?
Oui, ouvre-toi davantage, creuse toi. Là, tu sens mon souffle chaud sur tes babines encore sages ?
Tu sens ma langue qui les effleure, retenant son envie ?

Ma bouche les veut, les happe, les dévore comme une proie consentante, les transforme en instrument de plaisir, les ouvre pour l'assaut à venir...

mardi 10 mars 2009

Familiarité

La bouche sensuelle et l'air un peu canaille,

Elle sait, avec art, s'attacher un amant ;

Et, lorsqu'on parle d'elle, on dit élégamment :

"c'est une femme qui prend l'homme par la taille".

Poète anonyme (1927)

lundi 9 mars 2009

Fauteuil Priapique

Poursuite de notre visite dans ce musée de l'érotisme qui lève bien des contrevérités sur la sexualité de nos aieux...

Ainsi, les sex machines vantées comme le nec plus ultra en matière d'innovation de notre début de 21ème siècle ne seraient que de pâles et modernes répliques de véritables sièges à plaisir déjà en vogue au début du siècle dernier.

Impossible dans ces conditions de résister au plaisir de la pause pour rendre un digne et appuyé hommage à ce fauteuil d'époque !

L'histoire ne dit pas s'il existait en plusieurs styles, pour être asssorti à votre intérieur, et en plusieurs tailles !

On imagine un repas de bonne société où les sièges de ces dames seraient dotés d'une telle assise (et on ne parle pas de parité, etc. svp !)...

Pour le coup, les repas risqueraient de s'éterniser, à moins qu'ils ne soient au contraire durechef terminés, voir suspendus, pour se livrer à quelques exercices digestifs !

vendredi 6 mars 2009

jeudi 5 mars 2009

Chaise démoniaque

Ce n'était pourtant pas la première fois que nous passions devant ce musée de l'érotisme mais il faut croire qu'une certaine méfiance nous avait jusqu'alors dissuadé d'en pousser la porte, ou peut-être étions nous trop pressé d'aller vers d'autres lieux...
C'est donc un peu par hasard que nous nous achetons nos tickets et commençons notre découverte des lieux, qui ne comptent pas moins de 7 étages, consacrés là tous les continents, époques et pratiques...
Véritable trésor de la culture érotique : des peuples primitifs à nos jours, il expose à l’œil admiratif, pudique, amusé ou stupéfait du visiteur les œuvres de l’art érotique les plus représentatives de chaque période.

Les trois premiers niveaux sont consacrés aux cinq continents et remontent aux époques les plus reculées, tandis que les trois suivants abritent des expositions temporaires d’artistes contemporains. Enfin, le sous-sol présente des objets « coquins », à la frontière entre l’art et l’utilitaire.

Par quelque intuition dont nous avons le secret, nous descendons vers ce fameux sous-sol, Sultane ne pouvant s'empêcher de laisser glisser un doigt vers cette authentique ceinture de chasteté, mot dont je ne suis d'ailleurs pas très sur qu'elle comprenne le sens !...


Quelques pas dans le dédale de petites pièces d'exposition, et nous tombons sur une étrange oeuvre, sorte d'ancêtre de salle de fitness, mais dont la fonction première nous apparaît soudain évidente.

Un rapide coup d'oeil nous confirme que les quelques visiteurs sont dans des pièces voisines, et Sultane se glisse déjà sur cet étrange vélo, les pieds vite calés sur les pédales...
Cette étrange roue bordée de petites plumes se met en mouvement; cri étonné de Sultane qui mesure pleinement la fonction de cet étrange appareil !

Ce n'est que lorsque je lui fait remarquer qu'une caméra est justement pointée vers nous qu'elle décide d'abréger cette séance de fitness... Et puis, il nous reste six étages à visiter; ce serait dommage de devoir quitter si vite ce lieu à surprises !

mercredi 4 mars 2009

Les Anneaux de Sultane

Une Sultane sans anneaux ne seraient pas tout à fait sultane, même lorsqu'elle se mêle au commun des mortels dans cette activité peu ludique que l'on appelle travail...

Rien de tel pour commencer la journée que d'aller saluer ses collègues en gardant caché ce symbole qui nous rapproche et nous attache, anneaux enchainés dans nos chairs...

Message envoyé à 08:54 : Je t'imagine avec ces anneaux qui pincent tes lèvres gonflées, cette perle qui danse entre tes cuisses, et te rappellent que ton Sultan te veut à chaque instant, ouverte, humide, le con prêt à accueillir mon pieu. N'oublie pas d'aller dire bjr à tes collègues ! Je t'aime.
Message lu à 08:58 : Ils se balancent en toute liberté, coquins et me disent combien je t'aime...

Message envoyé à 09:15 : Je les vois, brillants, étirant tes lèvres, te rappelant à chaque instant ce puits ouvert qui n'attend que d'être comblé, limé, arrosé... Tu vas aller les enlever maintenant et revenir en les tenant à la main.

Message lu à 09:24 : Mes lèvres garderont une trace de ces jolis bijoux...je t'aime mon coeur chéri...

Message envoyé à 09:28 : Ce n'est pas la 1ère fois que tu porteras mes marques, sur tes lèvres ou sur ton cul... et tu en auras d'autres, bientôt...

mardi 3 mars 2009

Conférence téléphonique

Je ne sais comment l'idée avait germé, qui de nous deux avait d'abord imaginé ce scénario, tant il est sur que nous étions l'un comme l'autre autant excité de réaliser ce fantasme.

Tu connais si bien mon emploi du temps que cette conférence téléphonique hebdomadaire avec mon équipe s'était facilement intégrée à nos jeux, mais nous avions tous deux envie de franchir le pas vers le réel.

Décision vite prise de rentrer plus tôt ce jour là, et de prendre cette conférence téléphonique sur mon portable.
A l'heure donnée, selon le protocole habituel, j'ouvrais le numéro d'appel à ma douzaine de correspondants, notes et ordinateur à portée de main, pour n'oublier aucun des sujets que nous devions aborder.

Tu ne fus pas longue à entrer en scène avec une application diabolique, te jetant avec gourmandise sur mes couilles lisses et gonflées, vite englouties.

J'avais mis le haut-parleur, afin que tu suives cette réunion, et les échanges très sérieux que tu entendais n'enlevaient rien à l'application avec laquelle tu embouchais maintenant ma queue congestionnée, happée jusqu'à la garde.
Heureusement, j'en profitais pour passer la parole à mes interlocuteurs, écartant le combiné pour que mes gémissements pourtant étouffés n'attirent pas leur attention.
C'était sans te connaître, car bientôt, tu m'enjambas pour guider mon pieu dans ton écrin ruisselant, début d'une folle cavalcade.

Nous ne saurons jamais si l'un ou l'autre de mes interlocuteurs(trices) eut le moindre doute sur notre saine occupation lorsque mon miel jaillit en flots chauds et épais et que nos cris étouffés se mêlèrent... Mais mes prochaines réunions ne seront jamais plus tout à fait les mêmes...

lundi 2 mars 2009

De l'usage du portable en réunion

Ha, ces interminables réunions où chacun campe sur ses positions, et où le temps s'égrène lentement sans la moindre lueur de concession... Que faire alors... Bailler, sortir le dernier catalogue des vacances prochaines, faire ses cartes de voeux (très) en retard ? Avouez que ce n'est pas dans l'air du temps !
Pourquoi ne pas joindre discrètement l'utile à l'agréable, et converser tranquillement avec votre complice qui n'aura de cesse que de transformer cette corvée en moment d'anthologie...


Message envoyé à 09:10 N'oublie pas de prendre ton port à la réunion de 9h30, j'aurai p'têt qq consignes à te donner.. A moins que tu préfères le cacher ds ton con...
Message lu à 09:15 Je crois que je vais le mettre au chaud...
Message envoyé à 09:17 Humm, ça ma plait bien. Envoie moi un msg juste avant de le mettre et de partir en réunion... Et n'oublie pas de m'en envoyer un qd tu le ressortiras de ton con, et sois bien concentrée et évite de gémir !
Message lu à 09:31 Mon con le malaxe doucement.,
Message envoyé à 09:35 Rhooo, savoir que ce sms ne sera pas lu mais fera vibrer ton con m'excite ! Bon, je vais qd même essayer de t'appeler et je laisserai sonner... Diabolique !

Message envoyé à 10:16 Mé heuu, pourquoi tu réponds pas ?... Je t'imagine sursautant en pleine réunion, souffle court, con trempé, bouton dur... Bon, je crois que je vais réessayer !
Message lu à 11:27 Rhooo... J'étais en transe, j'avais mis la sonnerie, moi reule l'entendais et le sentais vibrer, je sursauté a chaque appel, tu es terribke, j'adore...
Message envoyé à 11:29 Je devine ds quel état tu es.. Je n'ai pensé qu'à ça, ton con trempé, ton bouton dur, tes reins prêts... G d'autres idées ! Serai sur la route à midi

Message envoyé à 11:47 Alors, je vais attendre encore un peu pour être sur la route qd tu iras manger. Bon, tu peux en attendant t'enconner avec ton oeuf !
Message lu à 11:40 A I2h3Opour moi tit'coeur...
Message lu 12:01 Il se gorge de tous mes sucs...
Message envoyé à 12:06 Humm, je l'imagine tt rond ds ton écrin, prêt à être expulsé comme un obus, et dégusté aussitôt à belles dents. J'aimerai le manger, ds ton con... Bientôt ?
Message envoyé à 13:45 Je suis sur que la sauce de mon sandwich était moins parfumée et onctueuse que celle de ton oeuf...
Message lu à 13:48 Saveur exotique mais il manquait le nappage au miel...